Sécurité sociale 1946/1947
La sécurité sociale se meurt U.E l'a tuée
C'est le 4 octobre 1945, sous l'autorité du ministre communiste Ambroise Croizat, qu'est adoptée la première ordonnance créant la « Sécu ». Une autre la suit le 19, et des lois sont votées en 1946 et 1947.
Commençons par un rappel de la solidarité sociale de cette protection qui naissait suite à la Révolution française, même si à cette époque ce n'était pas encore la protection sociale que nous connaissons, elle montrait une avancée non négligeable dans ce domaine de l'aide et protection
A savoir:
Les sociétés de secours mutuels, succédant aux corporations de l'Ancien Régime abolies en 1791, fondées sur la prévoyance collective volontaire et limitées à quelques activités ou quelques entreprises : reconnues légalement en 1835, elles obtiendront une entière liberté de création et les encouragements des pouvoirs publics par la loi du 1er avril 1898
1945-1946 : la mise en place d'une Sécurité Sociale
En 1945 les bâtisseurs du système français de sécurité sociale poursuivent un triple objectif : unité de la sécurité sociale, généralisation quant aux personnes, extension des risques couverts sous la double influence du rapport BEVERIDGE de 1942 et du système BISMARCKIEN.
L'ordonnance du 4 octobre 1945 prévoit un réseau coordonné de caisses se substituant à de multiples organismes, l'unité administrative ne sera cependant pas réalisée et ne l'est toujours pas.
Le système de protection agricole reste avec ses mutuelles, mais aussi le système de protection des commerçants et artisants restent les parents pauvres de la protection sociale, avec pour eux ce système tant décrié depuis des années le RSI. De puis des décennies les politiques s'entendent pour dire qu'ils vont améliorer le système depuis ces mêmes décennies rien n'a changé en ce monde
En 2017 quand est-il? notre système social explose, pour des raisons multiples il est en surchauffe un peu comme ces moteurs de voitures de courses que l'on pousse au maximum. Les cotisations qui permettent le fonctionnement de notre système social peinent à couvrir les besoins, tous nous parlent de 10,12,voir 14 milliards € de déficit, il faut reconnaître que notre système basé sur le fait que chacun cotise à la hateur de ses possibilités peut recevoir la même aide sociale que son voisin, que cette aide n'est pas assujettie aux cotisations, c'est ce que l'on appelle en résumé la garantie dans toute la dignité.
A sa création en 1945 le législateur ne pouvait pas imaginer ce qui allait se produire, du moins si lui en avait connaissance il s'est bien gardé d'en partager le savoir: la multiplication des besoins associée à la diminution des cotisations entrainée par le chômage galopant, par les délocalisations, par les mouvements des populations , ce droit national est devenu un droit universel.
Si aujourd'hui pendant cette campagne électorale Présidentielle, le modèle à venir de la sécurité sociale reste un élément flou, certains osent néanmoins prévenir que les mutuelles privées prendront de plus en plus le pas sur la sécurité sociale comme elle est conçue aujourd'hui, que nos droits seront revus et pas à la hausse, que nos cotisations elles s'élèveront encore et encore, que notre couverture sociale de fait sera en rapport avec les cotisations versées, finie la répartition suivant les besoins.
Ce modèle montrait en exemple dans le monde entier souvent copié jamais égalé, va s'éteindre sous les coups de butoirs des technocrates Bruxellois qui désirent privatiser tout ce qui peut l'être, sous prétexte d'une pseudo égalité des peuples, laors que leur désir premier est la croissance des assurances et autres organismes privés.
Oui la sécurité sociale se meurt, rongée par le cancer de la rentabilité, rongée par ce traitement de cheval qui a en croire certains serait nécessaire alors que nous savons trés bien qu'il la mème à sa perte, à notre perte de cette couverture sociale bâtie par nos grands parents et parents, bâtie dans les larmes le sang des batailles sociales, bâtie sous les coups de matraques des forces de police pendant les manifestations, bâtie pendant ces grèves qui appauvrissaient plus ceux et celles qui les faisaient que ceux et celles qui les subissaient comme ces grosses sociétés ou gros patrons. Batie dans la douleur pour soulager de la douleur ceux, celles qui malades souffrent
Si nous voulons sauver la sécurité sociale, sauver cette protection sociale innégalée dans le monde pour nous, mais aussi pour quelle perdure dans l'avenir, cet avenir que nous préparons avec notre présent, cet avenir que nous léguons de fait aux générations à venir, nos enfants, nos petits enfants il nous faut retrouver notre autonomie, et pour retrouver notre autonomie nous devons avoir le courage, l'audace , la volonté de sortir de ce système européen, nous devons retrouver nos fondamentaux, notre nation doit se retrouver comme une équipe de rugby solidaire dans la mêlée mondiale, avec la volonté certaine de maintenir cette cohésion.
Tous les plans sur la comète ne changeront rien à la situation, nous avons pour nous convaincre si encore il y en avait besoin, les chiffres nous versons +- 23/24 milliards à Bruxelles, on nous en rétrocéde 14 milliards, la différence à elle seule soit prés de 10 milliards et presque l'équivalent du déficit que l'on nous annonce tous les ans , je suis peut-être simple dans mon calcul mais qui peut le mettre à mal?
La sécurité sociale se meurt U.E l'assassine , protégeons la et pour cela osons nous retirer de ce magasin dont les articles ne sont pas faits pour nous, osons notre liberté, cette liberté sociale gagnée par le sang et les larmes et si pour cela il faut ne plus faire parti de cette Europe là et bien soit, ne plus manger à la même table des voisins ne nous interdit pas de se passer le sel et le poivre quand le besoin s'en fait sentir. Une certitude les technocrates bruxellois veulent imposer les mutuelles privées au droit de santé républician que nous connaissons, ils veulent privatiser le social, tant dans le domaine dela santé que celui des retraites, la privatisation le lecmotiv de U.E
La France a besoin des autres comme les autres ont besoin de la France, mais la France n'est pas obligée de vivre avec les autres comme les autres ne sont pas obligés de vivre avec la France, un bon voisinage vaut mieux qu'un mauvais mariage.